L'hirudothérapie c'est :
a. Une thérapie d'origine japonaise :
L'hirudothérapie fut inventée par un judoka au début du 20eme siècle pour aider les muscles à se détendre après un entrainement. En effet, l'art martiaux créer quelques années au paravent laissait souvent les combattants avec d'atroces douleurs physiques que rien ne pouvait atténuer.
Le sport, peu à peu abandonné, faillit disparaitre du globe jusqu'au jour où le Sensei Shozu Awazo trouve enfin une thérapie efficace !
Alors que lui aussi est à deux doigts de laisser tomber, une idée lui vient subitement dans son dojo; il mélange de l'essence d'orange et de citron et les incorpore dans une pâte composée principalement de feuille de menthe. Il l'étale sur ses cuisses et ses bras durant quelques minutes et médite, et enfin, miracle ! la douleur disparait. Dans sa joie, il renverse de l'alcool de riz dans la mixture, croyant avoir détruit sa recette il en oint les jambes d'un autre judoka qui tombe alors face contre le tatami en le remerciant d'avoir fait disparaitre sa douleur. Cette situation serait à l'origine de la double salutation - à genoux sur le tatamis puis debout devant son adversaire - des judokas.
L'onguent se transmet rapidement à travers le monde et juste à temps pour la démonstration de 1964 aux jeux olympiques. Le public est charmé, les judokas sereins. En 1972, l'art martial fait officiellement partit des JO, au plus grand bonheur du Sensei Shozu Awazo.
b. Une thérapie qui utilise des plantes urticantes :
On connait tous le dicton '' combattre le mal par le mal '', eh bien un docteur du 17eme siècle, le Dr. Ewan Rossel préférait dire à ses patients '' soigner le mal par le mal ''.
Le Dr. Rossel a passé toute son enfance dans les marais du Compté de Marshall - Indiana, USA - et s'est tout de suite passionné pour les plantes qui y poussaient, on lui doit beaucoup de découverte notamment la plante urticante '' Urticata Rosselum '' qui devient la mascotte de son cabinet. Car oui, bien que partant dans la botanique, son père voulait qu'Ewan reprenne le cabinet familial.
Ewan entreprit alors des études de médecine mais resta persuader que les plantes urticantes étaient les seules réponses face aux maladies. Lors de sa dernière année d'étude, il disserta durant cinq heures sur le bien fait des plantes urticantes, l'hirudothérapie, montrant même à ses professeurs un patient souffrant de lèpre soigné grâce à elles.
Le Dr. Rossel eu son doctorat bien que l'avis des professeurs divergeaient nettement.
Les patients du docteur affirmait que celui-ci pouvait tenir n'importe quelle plantes urticantes dans ses mains, jamais elles n'affichaient d'irritation '' Je me suis soigné avec l'Urticata Rosselum toute mon enfance, leur disait-il, je suis vacciné de ces quelques effets secondaires, qui n'ont rien de néfaste, je vous rassure ''.
Cependant, aucune étude n'a prouvé qu'utiliser des plantes urticantes, pouvait soigner les maladies.
c. Une thérapie qui utilise des sangsues :
Créée depuis au moins 2000 ans, si ce n'est plus, l'hirudothérapie s'utilise encore parfois de nos jours. Ce sont les naturistes en premier puis le médecins qui recommandaient les sangsues pour tout et n'importe quoi : fièvre, manie, étourdissement, maladies de peaux, nettoyage d'une plaie, entorse,...
La méthode a vite fait des émules, elle atteint son pique de popularité au Moyen-Age et se raréfie seulement à la fin du 20eme siècle, à cause, ou plutôt grâce aux alarmes lancées par les hygiénistes trouvant cette façon de faire trop sujette à l'infection.
Les médecins de l'époque allaient jusqu'à coller sur la peau plus de 100 sangsues sur les patients, rendant par ce fait, la matière premières chère et en voix d'extinction. En effet, on tuait systématiquement les sangsues après leur utilisation.
Face à la crise un chirurgien dira : ''[elles peuvent être utilisées une seconde fois mais] je recommande toutefois de bien nettoyer les sangsues avant et après les avoir utilisées''.
La saignée n'est pas en fait ce qui fait le plus de bien au patient comme le croyait les médecins de l'époque - loin de là -, mais ce sont les protéines dans la salive des sangsues qui joue le rôle de '' médicament '', on en recense plus d'une soixantaine.
Aujourd'hui on utilise uniquement les sangsues lors de chirurgie plastiques pour sauver les greffons, bien que le marché de la vente de sangsue est toujours bien présent et ne se laisse pas abattre par les difficultés du 21eme siècle.
d. Une thérapie d'origine nordique :
Thérapie créée au environ du 8e ou du 9e siècle, les chercheurs hésitent encore sur quel peuple en à eu l'idée en premier entre les Normands et les Suédois. Ils s'accordent néanmoins sur le fait que l'hirudothérapie est bien de nature viking.
On l'ignore souvent, les vikings ne sont pas seulement de gros barbares qui violent des femmes et qui brûlent des églises, ils ont été d'excellents marins, on le sait, mais ont été aussi de très bons médecins!
Des écrits découverts au début du 20eme siècle par l’archéologue Justin Heisen et son équipe ont mis à jour tout un pan de techniques médicales de ses hommes barbus, dont l'hirudothérapie.
Durant le 8eme siècle une forte hausse de mortalité à été notée dans les pays scandinaves. Grâce au écrit retrouvé par Heisen ont sait maintenant que cela venait d'une bactérie mangeuse de chair.
A l'époque les vikings dormaient avec des peaux de bêtes, et certaine d'entre elles, mal lavée, étaient couverte de bactérie qui mangeaient peu à peu la peau des hommes et finissait par les tuer. Évidemment, à l'époque la notion de bactérie n'existait pas, cependant, les guérisseurs ont décidés de tester plusieurs méthodes jusqu'à ce qu'une fonctionne : l'hirudothérapie. On emballait les ''infectés '' dans des peaux d'animaux fraichement abattus ayant encore du sang et de la chair durant une semaine complète. Les bactéries quittaient l'infecté et allait tout naturellement se loger dans la chair animale, se qui sauvait le patient.
La thérapie est très vite tombée dans l'oubli, environ dès le 10ème siècle, car les normes d'hygiène avaient évolué.
a. Une thérapie d'origine japonaise :
Menthe, orange, citron, saké |
Le sport, peu à peu abandonné, faillit disparaitre du globe jusqu'au jour où le Sensei Shozu Awazo trouve enfin une thérapie efficace !
Alors que lui aussi est à deux doigts de laisser tomber, une idée lui vient subitement dans son dojo; il mélange de l'essence d'orange et de citron et les incorpore dans une pâte composée principalement de feuille de menthe. Il l'étale sur ses cuisses et ses bras durant quelques minutes et médite, et enfin, miracle ! la douleur disparait. Dans sa joie, il renverse de l'alcool de riz dans la mixture, croyant avoir détruit sa recette il en oint les jambes d'un autre judoka qui tombe alors face contre le tatami en le remerciant d'avoir fait disparaitre sa douleur. Cette situation serait à l'origine de la double salutation - à genoux sur le tatamis puis debout devant son adversaire - des judokas.
L'onguent se transmet rapidement à travers le monde et juste à temps pour la démonstration de 1964 aux jeux olympiques. Le public est charmé, les judokas sereins. En 1972, l'art martial fait officiellement partit des JO, au plus grand bonheur du Sensei Shozu Awazo.
b. Une thérapie qui utilise des plantes urticantes :
Urticata Rosselum |
Le Dr. Rossel a passé toute son enfance dans les marais du Compté de Marshall - Indiana, USA - et s'est tout de suite passionné pour les plantes qui y poussaient, on lui doit beaucoup de découverte notamment la plante urticante '' Urticata Rosselum '' qui devient la mascotte de son cabinet. Car oui, bien que partant dans la botanique, son père voulait qu'Ewan reprenne le cabinet familial.
Ewan entreprit alors des études de médecine mais resta persuader que les plantes urticantes étaient les seules réponses face aux maladies. Lors de sa dernière année d'étude, il disserta durant cinq heures sur le bien fait des plantes urticantes, l'hirudothérapie, montrant même à ses professeurs un patient souffrant de lèpre soigné grâce à elles.
Le Dr. Rossel eu son doctorat bien que l'avis des professeurs divergeaient nettement.
Les patients du docteur affirmait que celui-ci pouvait tenir n'importe quelle plantes urticantes dans ses mains, jamais elles n'affichaient d'irritation '' Je me suis soigné avec l'Urticata Rosselum toute mon enfance, leur disait-il, je suis vacciné de ces quelques effets secondaires, qui n'ont rien de néfaste, je vous rassure ''.
Cependant, aucune étude n'a prouvé qu'utiliser des plantes urticantes, pouvait soigner les maladies.
c. Une thérapie qui utilise des sangsues :
Sangsue dans son milieu naturel |
La méthode a vite fait des émules, elle atteint son pique de popularité au Moyen-Age et se raréfie seulement à la fin du 20eme siècle, à cause, ou plutôt grâce aux alarmes lancées par les hygiénistes trouvant cette façon de faire trop sujette à l'infection.
Les médecins de l'époque allaient jusqu'à coller sur la peau plus de 100 sangsues sur les patients, rendant par ce fait, la matière premières chère et en voix d'extinction. En effet, on tuait systématiquement les sangsues après leur utilisation.
Face à la crise un chirurgien dira : ''[elles peuvent être utilisées une seconde fois mais] je recommande toutefois de bien nettoyer les sangsues avant et après les avoir utilisées''.
La saignée n'est pas en fait ce qui fait le plus de bien au patient comme le croyait les médecins de l'époque - loin de là -, mais ce sont les protéines dans la salive des sangsues qui joue le rôle de '' médicament '', on en recense plus d'une soixantaine.
Aujourd'hui on utilise uniquement les sangsues lors de chirurgie plastiques pour sauver les greffons, bien que le marché de la vente de sangsue est toujours bien présent et ne se laisse pas abattre par les difficultés du 21eme siècle.
d. Une thérapie d'origine nordique :
Image d'archive |
On l'ignore souvent, les vikings ne sont pas seulement de gros barbares qui violent des femmes et qui brûlent des églises, ils ont été d'excellents marins, on le sait, mais ont été aussi de très bons médecins!
Des écrits découverts au début du 20eme siècle par l’archéologue Justin Heisen et son équipe ont mis à jour tout un pan de techniques médicales de ses hommes barbus, dont l'hirudothérapie.
Durant le 8eme siècle une forte hausse de mortalité à été notée dans les pays scandinaves. Grâce au écrit retrouvé par Heisen ont sait maintenant que cela venait d'une bactérie mangeuse de chair.
A l'époque les vikings dormaient avec des peaux de bêtes, et certaine d'entre elles, mal lavée, étaient couverte de bactérie qui mangeaient peu à peu la peau des hommes et finissait par les tuer. Évidemment, à l'époque la notion de bactérie n'existait pas, cependant, les guérisseurs ont décidés de tester plusieurs méthodes jusqu'à ce qu'une fonctionne : l'hirudothérapie. On emballait les ''infectés '' dans des peaux d'animaux fraichement abattus ayant encore du sang et de la chair durant une semaine complète. Les bactéries quittaient l'infecté et allait tout naturellement se loger dans la chair animale, se qui sauvait le patient.
La thérapie est très vite tombée dans l'oubli, environ dès le 10ème siècle, car les normes d'hygiène avaient évolué.
Buzz'
La solution : ici